« Comment s’inventer soi-même, par-delà les assignations familiales et sociales ? » Désobéir est le portrait croisé de quatre jeunes femmes. C’est aussi le récit d’une émancipation, entre fidélité et réinvention des héritages, où le rapport à l’idéal, à l’amour, à la croyance et à la violence touche au cœur de la politique. Sur scène leurs témoignages, chargés des révoltes et des rêves les plus inattendus, brisent un à un les stéréotypes qui épinglent le visage féminin de la banlieue. Des tentatives de réconciliation aux luttes les plus radicales, elles affirment un désir d’égalité valable pour chacun(e). Entre fidélité et refus du poids […]
Lire +« Comment s’inventer soi-même, par-delà les assignations familiales et sociales ? »
Désobéir est le portrait croisé de quatre jeunes femmes. C’est aussi le récit d’une émancipation, entre fidélité et réinvention des héritages, où le rapport à l’idéal, à l’amour, à la croyance et à la violence touche au cœur de la politique.
Sur scène leurs témoignages, chargés des révoltes et des rêves les plus inattendus, brisent un à un les stéréotypes qui épinglent le visage féminin de la banlieue. Des tentatives de réconciliation aux luttes les plus radicales, elles affirment un désir d’égalité valable pour chacun(e).
Entre fidélité et refus du poids de l’héritage, entre désirs immenses et sentiments d’impasse de l’époque, Julie Berès et son équipe entreprennent de sonder les rêves et les révoltes des jeunes femmes d’aujourd’hui.
L’Humanité
“Quatre incroyables comédiennes, campent avec une énergie communicative et une force explosive des personnages troublants et insaisissables dont le discours nous hante bien après la fin de cet enthousiasmant spectacle.”
Sceneweb – Stéphane Capron
“Une pièce magistrale qui parle sans tabous de sexualité, de religion, des rapports femmes/hommes, des relations familiales.”
Libération
“Un spectacle sur les vertus de la désobéissance qui échappe cependant aux bons sentiments et au moralisme.”
Pariscope
“Un coup de pied dans les préjugés, de l’indiscipline de la pensée, du corps révolté, le terrer pour regarder autrement la société, l’époque, sa complexité intrinsèque, ses contradictions, sa jeunesse souvent tue ou trop facilement étiquetée.”